Son parcours est à l’image de ces appartements mal-fichus que les agences immobilières essaient de mettre en avant par des adjectifs plus attrayants que la réalité : « atypique ». Italienne, elle arrive à Paris en 2008 pour ses études. Puis trouve un poste comme journaliste voyage, un fait que dans son pays natal aurait relevé du miracle plutôt que du cours naturel des choses, alors elle décide de rester. Un peu pigiste, un peu vidéaste, un peu blogueuse, elle finit par intégrer l’équipe de production de la Rai (la télé italienne) à Paris et elle y travaille jusqu’à son déménagement à Bordeaux, où l’envie lui prend de se réinventer.
Elle creuse alors dans le panier de ses vielles passions : le théâtre et la musique lui apparaissent comme une évidence. Mélangées à une nouvelle formation et relevées par une pincée de compétences recyclées, elles devraient faire l’affaire, se dit-elle. Elle toque donc à la porte des Caprices de Marianne où elle est accueillie en stage pendant un mois.
Fascinée par les bébé-concerts et par les concerts à la piscine, elle pleure comme une fontaine en écoutant un slam sur trio à cordes. Ça y est, la connexion est faite. Très fière de participer à la construction de quelque chose d’aussi beau, elle fait maintenant partie de l’aventure.
Son parcours est à l’image de ces appartements mal-fichus que les agences immobilières essaient de mettre en avant par des adjectifs plus attrayants que la réalité : « atypique ». Italienne, elle arrive à Paris en 2008 pour ses études. Puis trouve un poste comme journaliste voyage, un fait que dans son pays natal aurait relevé du miracle plutôt que du cours naturel des choses, alors elle décide de rester. Un peu pigiste, un peu vidéaste, un peu blogueuse, elle finit par intégrer l’équipe de production de la Rai (la télé italienne) à Paris et elle y travaille jusqu’à son déménagement à Bordeaux, où l’envie lui prend de se réinventer.
Elle creuse alors dans le panier de ses vielles passions : le théâtre et la musique lui apparaissent comme une évidence. Mélangées à une nouvelle formation et relevées par une pincée de compétences recyclées, elles devraient faire l’affaire, se dit-elle. Elle toque donc à la porte des Caprices de Marianne où elle est accueillie en stage pendant un mois.
Fascinée par les bébé-concerts et par les concerts à la piscine, elle pleure comme une fontaine en écoutant un slam sur trio à cordes. Ça y est, la connexion est faite. Très fière de participer à la construction de quelque chose d’aussi beau, elle fait maintenant partie de l’aventure.
07 69 08 57 51
lescaprices33@gmail.com
12 rue Jules Steeg
33800 BORDEAUX
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