Quand deux musiciennes classiques rêvent à des spectacles jeune public, cela donne le duo Papier Ciso. Muriel Sarlette, hautboïste et Clémence Chippier, violoncelliste, se sont associées pour créer plusieurs formes pour les 0-3 ans et les 3-6 ans. Contes musicaux, calendrier de l’avent spectaculaire, tout est bon pour faire entendre de la musique classique de qualité aux tout-petits.

Elles présentent en 2023, leur nouveau conte musical “Zatte le mille-pattes”.  Les Caprices de Marianne se sont associés à ce duo pour soutenir leur démarche et les aider dans la diffusion de leurs créations.

Rivalité, zèle, émulation sont les symboles de la divinité grecque Zélos. Qualités incarnant au mieux les convocations de ce duo atypique.

Fort de leurs différentes origines instrumentales, la curiosité des deux musiciens les amène à explorer un large répertoire, du baroque jusqu’à nos jours, par un travail de transcriptions et d’arrangements et donnent ainsi un nouveau regard sur le répertoire classique à travers l’alliage sonore unique du violon et du marimba.

• Alex Diep, violon
• Sylvain Borredon, marimba

Duo Zélos

Cette formation singulière propose un choix de partitions variées, compositions de Bruno Maurice, mais aussi transcriptions étonnantes d’un répertoire populaire (valses musettes, musique de films). D’autres plus emblématiques de Dvorak par exemple, mais aussi une Suite Bulgare virtuose et dansante ! Ce trio peut devenir quatuor avec la complicité d’une soprano, cette formation s’empare alors des sublimes lieder de Schubert arrangés par Bernard Cavanna, de quelques chansons de Kurt Weil et de Georges Auric. Un programme qui se fraye un chemin à travers musiques traditionnelles et musique dites savante.

Si l’accordéon n’est pas l’instrument le plus commun du répertoire classique il est idéal pour créer un lien instantané avec un public néophyte mais aussi pour surprendre les mélomanes.

• Jean-Louis Constant, violon
• Marianne Muglioni, violoncelle
• Bruno Maurice, accordéon

Éko est un ensemble unique en France. Fondé par cinq jeunes musiciens talentueux issus des Établissements d’Enseignement Supérieur de Musique, il vous entraîne avec lui dans un voyage musical inoubliable, à travers le temps et l’espace. L’alliage des timbres de ses cinq instruments vous fera connaître un tout nouvel univers découvrir, alors même que son répertoire est en constante évolution.

• Audrey Crouzet, hautbois
• Thomas Quinquenel, basson
• Matthieu Gaillard, clarinette
• Clara Lighezzolo, clarinette basse
• Alberto Chaves, saxophone

Traditionnellement les cuivres jouent en quintette (deux trompettes, cor d’harmonie, trombone, et tuba) Dans le Bordeaux Brass Sextet, l’ajout de la percussion apporte une nouvelle dimension à la musique : une palette sonore plus large, de nouvelles couleurs, une plus grande ampleur de sons et permet ainsi d’aborder toutes les époques, de la renaissance au pop en passant bien sûr par le classique et le jazz.

Un programme original, simple et joyeux, une perle rare !

L’ensemble de Cuivres & Percussions Bordeaux Brass Sextet ou «BBS» regroupe six musiciens professionnels tous issus de l’Opéra National de Bordeaux et de l’Orchestre National de Bordeaux Aquitaine ONBA

• Laurent Malet, trompette
• Sébastien Jean, trompette
• Julien Blanc, cor
• Frédéric Demarle, trombone
• Atsutaro Mizunaka, tuba
• Sylvain Borredon, percussions

Né à Reuil Malmaison en 1985, Alex Diep commence le violon à l’âge de 6 ans au conservatoire de Créteil dans la classe de Pierre HOFER.

En 2005, Alex est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans la classe de Vladimir NEMTANU et Kazimierz OLECHOWSKI, où il obtient en 2010, son Master d’interprète avec la mention très bien à l’unanimité.

Passionné de musique de chambre et d’orchestre, Alex poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en master de musique de chambre dans la classe de Franck Krawczyk et Yovan Markovitch.

Par la suite, il intègre avec le Trio Palmer la classe du Trio Wanderer au pôle supérieur de Paris où il bénéficie de précieux conseils de Jean Marc Philips, Vincent Coq, Raphaël Pidoux et Emmanuel Strosser.

Alex joue régulièrement au sein d’orchestre tel que l’Orchestre National de France, le Philharmonique de Radio France, le Capitole de Toulouse.

Alex intègre l’Orchestre de l’Opéra de Lyon comme violon tuttiste en octobre 2010 puis comme 3 ème solo en octobre 2015.

En 2017, Alex Diep est nommé violon solo co soliste à l’Orchestre Nationale Bordeaux Aquitaine.

Audrey Rousseau débute le violon à l’âge de six ans et demi. Elève des CNR de Cergy-Pontoise puis de Rueil-Malmaison elle obtient successivement une médaille d’or à l’unanimité en Musique de chambre, déchiffrage, formation musicale et violon à Cergy, puis un premier prix de violon à Rueil.

En 2001 elle reçoit le « Postgraduate Diploma in performance » avec distinction au Royal College of Music de Londres, dans la classe de Felix Andrievsky.

Au cours de ses études elle se distingue dans plusieurs orchestres de jeunes (violon solo de l’orchestre inter-conservatoires en 1999 ; chef d’attaque des seconds violons à l’OFJ sous la direction de J. Lopez-Cobos en 2000 ; violon solo en alternance de l’orchestre du Royal College, et à l’occasion du concours Lorin Maazel lors de la demi-finale à Londres en 2000/2001)

De 2001 à 2007 elle est tuttiste au Royal Philharmonic orchestra sous la direction de Daniele Gatti, puis de 2007 à 2009 au London Symphony Orchestra. Elle participe à de nombreuses tournées internationales sous la direction de chefs tels que Sir Colin Davis, Valery Gergiev, Bernard Haitink, Michael Tilson Thomas, John Eliot Gardiner, Daniel Harding…

De retour en France en 2009 elle assure de nombreux remplacements à l’orchestre philharmonique de Radio France, l’opéra national de Paris, l’orchestre de Paris, l’orchestre national des pays de la Loire. Elle est depuis 2011 violon solo de l’orchestre Région Centre Tours et assure des remplacements de soliste à l’Orchestre Philharmonique de Radio-France

Passionné, curieux, il aime aller à la rencontre de nouveaux publics. Il innove avec les compositeurs actuels ou grâce à son approche stylistique de ceux du passé.

Aussi bien soliste émérite, chambriste recherché que musicien de cabaret tzigane, cet artiste volubile s’est produit sur les scènes les plus prestigieuses: Philharmonie de Berlin, Suntory Hall à Tokyo, Forbidden city hall à Pékin, Wigmore hall à Londres, Teatro nacional de Madrid, Teatro Colon à Buenos Aires, Library of Congress à Washington, Théâtre des Champs Elysées à Paris…

Son travail, les critiques unanimes et ses récompenses internationales font de lui un des plus grands interprètes de sa génération.

Membre du Quatuor Varèse depuis ses premiers concerts jusqu’en 2015, il se produit sur de nombreuses scènes françaises et étrangères et remporte des prix dans la plupart des grands concours internationaux (Mozart, Reggio Emilia, Schubert…)

Sa carrière de chambriste avec le Quatuor Varèse lui permet d’aborder un vaste répertoire et de recueillir l’enseignement de maîtres reconnus (Günter Pichler, Miguel da Silva, Rainer Schmitt, Ferenc Rados, Emil Kantor, Quatuor Danel). Il expérimente également au sein du Quatuor la pratique du théâtre musical (avec la Compagnie Sandrine Anglade) et du spectacle chorégraphique (avec la Compagnie Käfig et le Quatuor Debussy). La culture transversale de l’ensemble ancrée dans le grand répertoire du quatuor conduit les quatre musiciens à graver un disque Adès-Dutilleux-Ravel (NoMadMusic) dont la sortie est saluée par la critique (Gramophone, Le Monde, MusicWeb International, Resmusica, …)

Depuis 2015, Jean-Louis Constant collabore régulièrement avec différents ensembles de chambre (Le Quatuor Kaplan, Les Forces Majeures, Les Caprices de Marianne, Les solistes de Catalogne …) et participe à des concerts et des projets pédagogiques avec l’Ensemble Ars Nova. Il joue régulièrement au sein de L’Orchestre du Capitole de Toulouse et a également participé à des concerts avec l’Orchestre de Bordeaux-Aquitaine, l’Opéra de Lyon ainsi que l’Orchestre des Pays de Savoie.

C’est au CRR de Clermont Ferrand (H.Friberg) et à l’ENM d’Aulnay sous Bois (J. Alvarez) que Jean-Louis Constant a appris le violon avant de se perfectionner au CNSMD de Lyon (C. Poiget, C. Bernard, M.Charvet et N. Gourbeix). Son cursus de violon, clôturé par un premier prix de violon à l’unanimité avec les félicitations du jury (2009), est complété par des études de pédagogie ; il obtient en 2012 le Certificat d’Aptitude de violon et de musique de chambre.

Il a enseigné temporairement dans divers établissements (CRR d’Avignon, CRR de Toulouse) avant d’être nommé professeur de violon au CRR de Bordeaux. Jean-Louis participe également à des stages de violon et de musique de chambre tels que ConCorda (Irlande, 2011), ou Les Musiciens et Herbe (France, depuis 2015).

Diplômé à l’âge de 15 ans de cinq Premiers Prix (violon, musique de chambre, …) au CRR de Saint-Maur, Tristan Liehr poursuit ses études de violon au Conservatoire de Paris dans la classe de Florin Szigeti. Puis il se forme à la Schola Cantorum auprès de Jean Lénert, avant de partir se perfectionner au CNSM de Lyon dans la classe de Vladimir Nemtanu et Kazimierz Olechowski, dont il sort avec un Master mention Très Bien en 2014.

Très vite passionné par l’orchestre, il intègre le Gustav Mahler Jugendorchester en 2011 au sein duquel il a l’opportunité de jouer sous la direction de grands chefs comme Sir Colin Davis ainsi qu’avec de célèbres solistes internationaux (Thomas Hampson, Suzan Graham, Frank Peter Zimmermann), dans quelques unes des plus grandes salles de concert européennes (Concertgebouw d’Amsterdam, Royal Albert Hall à Londres, Opéra de Dresde, Théâtre des Champs Élysées à Paris, Grosses Festspielhaus de Salzbourg, KKL de Lucerne, Philharmonie de Madrid, Musikverein de Vienne, …).

Désireux d’approcher le répertoire contemporain, il rejoint en 2013 l’orchestre de l’Académie du Festival de Lucerne dirigée par Pierre Boulez.Il donne également régulièrement des concerts en musique de chambre, notamment dans le cadre de festivals comme le festival Messiaen (La Grave au pays de La Meije), le festival de Vivoin (Sarthe), le festival de musique de Biblos (Liban), …

En janvier 2014 il rejoint les rangs de l’orchestre de l’Opera National de Lyon comme violon tuttiste titulaire, avant d’occuper le poste de chef d’attaque des seconds violon à l’ONBA.

Belinda Peake débute l’alto à Londres à l’âge de sept ans avec Sheila Nelson avec qui elle étudie dix ans. Elle a ensuite étudié  à Rome pendant un an, puis avec Mr Glickman (professeur au Guildhall School of Music) avant de suivre ses études de musicologie à l’université d’Oxford en Angleterre, où elle obtient un Bachelor et un Master of Arts. Son envie d’approfondir ses études d’alto l’emmène en France afin de travailler avec P-H Xuereb et Bruno Pasquier et elle obtient ses Prix d’Excellence au CRD de Gennevilliers et au CRR de Paris. Co-soliste de l’Orchestre Symphonique Français et professeur d’alto au Conservatoire d’Alfortville, elle vient ensuite s’installer à Nantes où elle travaille régulièrement avec l’ONPL.  Titulaire du CA, sa nomination en 2002 comme professeur d’alto au CRD de Gennevilliers lui a permis de trouver aujourd’hui son équilibre entre ses projets d’enseignement, ses concerts de musique de chambre et son travail avec divers orchestres français.

Didier Lacombe est professeur au Conservatoire de Bordeaux depuis 1999.

Médaillé d’or d’alto au C.N.R de Versailles. En 1990 il est alto solo de l’Orchestre Français des Jeunes au Festival d’Evian sous la direction de M. Rostropovitch, puis dans Trans de K.Stockhausen au Festival de musique contemporaine de Caen, en collaboration avec le compositeur.

Il a été successivement Titulaire à l’Orchestre de Caen puis Alto solo à l’Orchestre Régional Bayonne Côte-Basque.

Il donne de nombreux concerts en récital et musique de chambre et participe à de nombreuses créations contemporaines. Violaine pour alto seul de J.Raynal, l’Insurmontable tiré de Exaticasis de B.Salles, Duo per solo pour deux altos de F.Rossé.

Né à Tarbes en 1974, Patrick Calafato commence ses études musicales à l’âge de 3 ans par l’apprentissage du piano.Il étudie ensuite le violon pendant 10 ans avant de se tourner en 1991 vers l’alto grâce à son premier professeur Stefan Kamasa.

En 1997, il obtient un 1er Prix au Conservatoire Supérieur de Paris dans la classe de Tasso Adamopoulos avant d’entrer, l’année suivante, à l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.Il se produit en outre régulièrement dans diverses formations de musique de chambre et notamment en quatuor à cordes. Il a notamment reçu l’enseignement des quatuors Amadeus, Berg et Ysaÿe entre autres.

Parallèlement à sa carrière d’instrumentiste, Patrick Calafato possède une voix de contre-ténor qui l’amène à se produire, en tant que chanteur, dans de nombreuses villes en France et à l’étranger et notamment, dernièrement, au Grand-Théâtre de Bordeaux.

Patrick Calafato est musicien de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

Bien sûr, lorsque l’on est violoncelliste, l’orchestre occupe une place de choix. De 2002 à 2009, il est membre de l’Orchestre National des Pays de Loire. De 2009 à 2017, c’est avec l’Orchestre de la Région Réunion qu’il jouera. Depuis 2017, il est violoncelle solo de l’Orchestre de Pau Pays de Béarn. Entre temps, il a l’occasion de jouer avec l’Orchestre Symphonique de Bretagne ou l’Orchestre de l’Opéra de Lyon.

Bien sûr la musique de chambre est une discipline au moins aussi importante, d’autant qu’elle lui permettra de faire ce qu’il trouve primordial : Collaborer avec d’autres disciplines artistiques et aller vers d’autres publics. C’est ce qu’il fera avec le KW Kwatyor, ensemble créé à la Réunion.

Pendant sept ans ce quatuor collaborera avec des plasticiens, des danseurs, des dessinateurs, des slameurs, des comédiens, des artistes issus de la scène musicale réunionnaise, sur des projets de créations. Ces spectacles les amèneront à jouer aussi bien dans les théâtres départementaux que dans les musées, les médiathèques, les écoles, les

orphelinats. Ils initieront même une tournée « instruments sur le dos » sur les sentiers du cirque de Mafate, à la rencontre des habitants de ces îlets isolés et accessibles uniquement à pied.

Niels enseigne également au conservatoire municipal de musique et de danse de Dax.

Elève de Jean Marie Gamard puis d’Yvan Chiffoleau, Marianne Muglioni obtient ses premiers prix, mention très bien, de violoncelle et de musique de chambre au Conservatoire National de Musique et de Danse de Lyon, puis se perfectionne auprès de Lluis Claret à Barcelone. Au festival d’Aspen (Colorado) puis dans divers  orchestres français (Orchestre Philharmonique de Radio France, Orchestre National de l’Opéra de Paris, Orchestre National de Bordeaux Aquitaine) elle joue sous la direction de chefs prestigieux (Youri Temirkanov, James Levine, James Conlon, Philippe Jordan, Myun wun chung Esa-Pekka Salonen). Elle se produit en musique de chambre auprès de musiciens tels que R. Daugareil, M. Michalakakos, R. Pidoux, T. Adamopoulos, H N’Kaoua.

Marianne Muglioni appartient à cette catégorie de musiciens, de plus en plus nombreux, qui ne se contentent plus des formes traditionnelles de l’interprétation musicale. Persuadée que la musique classique a un autre avenir que celui d’être perpétuée sous les mêmes formes, dans les mêmes contextes, pour les mêmes publics, elle s’oriente résolument dans d’autres voies, qui peuvent paraître opposées entre elles, mais qui ont pour point commun l’amour de la musique et le souci de la diffuser. C’est dans cette optique qu’elle s’est formée auprès de webset pour apprendre les métiers de la gestion et de l’administration culturelle du spectacle vivant. Depuis,  elle fédère autour du projet Les Caprices de Marianne, artistes, institutions, acteurs du territoire à la rencontre des publics.

Les plus grands de notre époque le sollicitent pour ses talents de violoncelliste, batteur, improvisateur, et pour sa force créatrice.

Il a ainsi joué et enregistré avec entre autres Hans Zimmer, Diana Krall, Quincy Jones, Jean Luc Ponty, Melody Gardot, Stefano di Battista , Bojan Z ou Camille.

Il rayonne tout autant sur les scènes de musique classique en soliste et chambriste aux côtés de Maxim Vengerov, Nemanja Radulovic, Roberto Alagna…

Cet artiste d’exception, à la croisée des mondes, inclassable, propose une nouvelle façon de vivre la musique

Après de classiques études de violoncelle à Nice et Paris, Étienne Mangot se tourne vers l’interprétation sur instruments anciens. Il étudie le violoncelle baroque et la viole de gambe, et se perfectionne au Conservatoire national supérieur de musique de Lyon.
Passionné par tous les instruments « da gamba », il est en continuelle recherche. Ainsi il collabore avec luthiers et archetiers pour reconstruire des modèles rares aux timbres particuliers, notamment un baryton à cordes de Pierre Jaquier.

Il enseigne au conservatoire de Limoge, se produit et enregistre avec Café Zimmermann (Pablo Valetti), Les Passions (Jean-Marc Andrieu), Akadêmia (Françoise Lasserre), La Clique des Lunaisiens (Arnaud Marzorati) et La Chapelle Rhénane (Benoît Haller). En musique de chambre, il joue aux côtés d’Aline Zylberajch, Pierre Hantaï, Hugo Reyne, Flavio Losco ou Alice Piérot.

En 2008, il fonde l’ensemble Filigrane qui rassemble des musiciens complices, jouant chacun plusieurs instruments, amoureux du grain du son et du tissage des voix.

Mélanie Panel débute ses études musicales dans le sud de la France et obtient une médaille d’or de flûte et de musique de chambre au conservatoire d’Aix en Provence. Elle poursuit ses études en région parisienne et entre au conservatoire National Supérieur de musique, à l’âge de 18 ans dans la classe d’Alain Marion. En parallèle de ses études, elle intègre l’orchestre de Bretagne où elle occupe le poste de 2ème flûte co-soliste et piccolo. En 2000, elle obtient le diplôme de formation supérieur avec mention très bien au CNSM de Paris. Puis en 2004, elle intègre l’ONPL, où elle occupe toujours le poste de piccolo solo. Friande de rencontres, elle se produit dans différentes formations de musique de chambre et n’hésite pas à mettre en place des passerelles entre les arts.

Né à Lille, Dominique Descamps se forme au Conservatoire de sa ville natale.

Il entre ensuite au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où, après des études de hautbois dans la classe de Pierre Pierlot et de musique de chambre dans celle de Maurice Bourgue, il remporte un Premier prix. À l’âge de 21 ans, il est nommé Hautbois Solo de l’Orchestre National Bordeaux

Aquitaine. Cette activité de musicien d’orchestre lui permet d’être invité par l’Orchestre de Radio France comme hautbois solo pour des concerts et tournées internationales avec le chef coréen Myung-Whun Chung. Il joue régulièrement en soliste avec l’ONBA mais aussi avec l’Orchestre du Capitole

de Toulouse, l’Orchestre de la Suisse Romande et l’ensemble des solistes de Bordeaux Aquitaine. Il a interprété le Concerto de R. Strauss avec l’ONBA (Festival d’été 2004). Il joue également le Deuxième Concerto brandebourgeois en janvier 2005 avec S. Kuijken. En 2005, il crée Ars pour hautbois et saxophone de Christian Lauba. Il est Directeur musical de l’ensemble Arundonax, bande de hautbois et bassons, qui favorise l’échange entre musiciens professionnels et étudiants. Dernièrement, il crée un Concerto pour hautbois et bande de hautbois du compositeur Étienne Rolin en novembre 2004 lors du concert organisé au Conservatoire de Bordeaux dans le cadre des échanges Bordeaux-Québec.

Professeur de musique de chambre depuis 1992 au Conservatoire de Bordeaux, il est aussi coordinateur de ce département. En 2000, il est nommé conseiller pédagogique. La pratique de l’improvisation lui ouvre de nouveaux horizons grâce à des rencontres avec des compositeurs improvisateurs : D. Galay, E. Rolin, et des musiciens de parcours différents : Emile Biayenda (percussions africaines), Kent Carter

(contrebasse), Bruno Maurice (accordéon), Étienne Rolin (clarinettes, saxophones, flûte).

Dominique Descamps est musicien de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

Hautbois solo à l’Opéra Royal de Wallonie/ Liège depuis août 2014, conférencière en hautbois et traits d’orchestre à l’Institut de Musique et de Pédagogie de Namur et assistante en musique de chambre au Conservatoire Royal de Bruxelles de 2016 à 2018, Muriel Sarlettes’engage au quotidien dans des activités musicales et pédagogiques qui se complètent et enrichissent sa personnalité artistique.

Diplômée d’un Master du Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon où elle suivit les cours de Jean-Louis Capezzali, Fabien Thouand et Jérôme Guichard, elle a également bénéficié des conseils de Sylvain CREMERS, Maurice BOURGUE, Heinz HOLLIGER, Albrecht MAYER et François LELEUX lors de cours, de stages et de masterclasses.

Lauréate du Concours des Jeunes solistes de L’UGDA (2004), du Concours International pour hautbois « Guiseppe Ferlendis » (2005) et du « Prix Guillaume Guidé » à Bruxelles en 2009, elle eut l’occasion de se produire à plusieurs reprises en tant que soliste avec l’Orchestre de Chambre de Wallonie, l’Ensemble Orchestral de Bruxelles et la Chapelle Musicale de Tournai dans des œuvres de Mozart, Lysight Vivaldi, Krommer et Bellini.

Passionnée de musique de chambre, Muriel Sarlette se produit également régulièrement dans de plus petites formations avec harpe, cordes, chant ou instrumentistes à vent. Elle est membre co-fondatrice de l’Ensemble Evento (musique baroque) et du quintette à vent « La chambre d’écoute » . En 2013 elle composa un cycle de mélodies pour voix de femme et hautbois solo.

Titulaire du Certificat d’aptitude aux fonctions de Professeur des Ecoles de Musique contrôlées par l’Etat (Lyon, 2014)  Muriel Sarlette consacre beaucoup d’énergie à l’enseignement et à la formation des jeunes musiciens, accordant une grande importance à l’éducation artistique et à l’écoute active dans le jeu d’ensemble.

Ayant commencé l’apprentissage de la clarinette basse en 1986 avec Francois Dutreuil, et après avoir intégré l’orchestre d’harmonie du Havre (76) au poste de clarinette basse en 1988,Stéphane Kwiatek obtient une médaille d’or en clarinette et clarinette basse à l’ENM de cette même ville en 1992, puis à l’ENM de Créteil (94) dans la classe de P.O. Devaux (Orchestre. de Paris) en 1993. La même année, il est nommé professeur de clarinette à l’ EMM de Cany Barville (76).

Il se perfectionne en travaillant régulièrement pendant trois ans auprès de Jacques Millon (clarinettiste basse de l’Opéra de Paris), ainsi que de Michel Arrignon (CNSM de Paris). Ce qui l’amène à travailler au sein de différents orchestres tels l’orchestre de Paris, l’orchestre National de France, de l’opéra de Paris, de Bretagne, des Pays de la Loire, du Théâtre des Arts de Rouen, de Nice, ou encore de jouer dans différentes formations de chambre (de la sonate à l’octuor) ainsi qu’en soliste.

Parallèlement il étudie le saxophone ténor et le jazz auprès de Pierre Cartier au JUPO (Le Havre), ce qui l’amène à créer et diriger le Big Band d’1 Soir (actuellement dirigé par Bastien Stil), avec lequel il joue aux coté de musiciens prestigieux, tels les Frères Belmondo ou encore Bob Mintzer. De plus, il fonde un quartet de jazz et un orchestre de Rythm’n blues (The Beach Combo).

En octobre 2002, il est nommé Clarinette Basse Solo de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine, et en septembre 2003, Professeur de clarinette et clarinette basse au CNR de Bordeaux, ainsi que membre de l’Ensemble Musiques Nouvelles de Bordeaux.

Sa carrière de pédagogue l’amène à enseigner dans diverses académies d’été, telles Biarritz , Poitiers, ou encore Vannes.

Originaire de Rouen, Thomas Quinquenel découvre la musique au conservatoire de sa ville natale à travers le basson. Il poursuit des études de basson moderne et ancien au CNSMD de Paris puis à la Hochschule Für Musik de Munich.

Musicien d’orchestre accompli, il est basson solo de l’orchestre de la Garde Républicaine mais aussi invité à jouer au sein de formations comme l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National de Bordeaux, le Verbier Festival Orchestra ou le Gürzenich Orchester Köln. Sa pratique des instruments historiques lui permet de prendre part aux projets des Siècles, des Musiciens du Louvre, de l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique et du Concerto Köln.

Également passionné de musique de chambre, il collabore avec l’ensemble Ouranos, l’Opéra de Rouen, Linéa…

En 2019 il fonde avec la violoniste Aude Marchand l’ensemble Ataïr.

Originaire de Bergerac (Périgord), Laurent Malet commence la trompette à Bordeaux avec Patrick Bajon, Pierre Lafitte et Jean-François Dion. Il poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Paris (classe d’Antoine Curé) d’où il sort diplômé en 1994 avec un Premier prix. Après avoir effectué son service militaire au sein de la Musique de la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris, il rejoint l’Orchestre des jeunes de la communauté européenne et se produit dans de nombreux concerts en Europe.

En 1991, il remporte le Deuxième prix du Concours européen de trompette Maurice André.

De 1992 à 1997, il occupe le poste de trompette solo de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse sous la direction de Michel Plasson. Il devient, en 1997, premier trompette solo de l’Orchestre de l’Opéra National de Paris et joue notamment sous la direction de Seiji Osawa, Valéry Gergiev et Pierre Boulez.

Avide de musique de chambre, il est membre de l’ensemble de cuivres et percussions IBY6 Brass avec David Defiez, Joël Vaisse, Stéphane Labeyrie, Sébastien Jean et Emmanuel Curt. Avec l’Ensemble de Cuivres Epsilon, il participe régulièrement au festival « Brass Week » en Limousin.

Parallèlement à ses activités musicales, Laurent Malet a été durant vingt années sapeur pompier volontaire.

Laurent Mallet est trompette solo de l’ONBA depuis septembre 2012.

Né à Neuvic/l’Isle en Dordogne, Sébastien Jean commence la trompette avec Daniel Cucchi à l’Ecole de Musique de Périgueux.

Il poursuit ses études musicales au sein de l’Ecole Nationale de Musique de Bayonne Côte-Basque dans la classe de Jean Sibra où il obtient une médaille d’or à l’unanimité en 1991. Il intègre l’année suivante le CNR de Bordeaux et glane les médailles d’honneur de la ville de Bordeaux en trompette et ensemble de cuivres avec Francis Hardy et Jean-François Dion. Il entre, en 1993, au CNSM de Lyon dans la classe de Pierre Dutot où il acquiert son Diplôme National d’Etudes Supérieures de Musique avec mention Très Bien en 1997.

Après avoir intégré en 1996 le Nouvel Orchestre de Saint-Etienne, il est nommé en 2002 trompettiste à l’Orchestre National des Pays de la Loire jusqu’en 2004, date à laquelle il obtient le poste de trompettiste à l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

Il est par ailleurs membre de l’ensemble de cuivres et percussions IBY-6 Brass.

Sébastien Jean est musicien de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

Frédéric Demarle obtient une médaille d’or au CNR de Rueil Malmaison en 1991 et un  premier prix de trombone ténor au Cnsm de Paris en 1997.

Il est appelé régulièrement comme musicien supplémentaire à l’Opera de Paris, l’Orchestre philharmonique de radio France ainsi que l’orchestre de Paris qu’il intègrera en 1999.

Il devient musicien permanent de l’Opera National de Bordeaux en 2000, poste qu’il occupe encore actuellement.

Parallèlement, il enseigne le trombone à l’école de musique de Pompignac depuis 2012 et se produit également dans des formations de musique de chambre telles que : le quatuor de trombones Sirocco et le sextet de cuivres et percussions BBS.

Né à Aix-les-Bains, Julien Blanc obtient un Prix de Perfectionnement en Cor et la Médaille d’Or en Musique de chambre du CNR de Lyon. Il étudie au CNR de Rueil-Malmaison et obtient le Premier Prix de Cor du Cycle supérieur dans la classe de Jean-Michel Vinit.

Il se perfectionne par la suite auprès de Greg Cass au Conservatoire Supérieur de Genève où on lui décerne le Premier prix de virtuosité (Diplôme de soliste).

Julien Blanc suit les Masterclasses avec André Cazalet, Bruno Schneider, Thomas Muller et Hermann Baumann.

En 2004, Hans Graff le nomme Second soliste de l’ONBA.Il se produit en soliste dans le Konzertstück de Schumann avec l’ONBA sous la direction de Günter Herbig.Julien Blanc est musicien de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

Né à Yamaguchi au Japon en 1970, Atsutaro Mizunaka est tuba solo de l’Orchestre de l’harmonie militaire de la Japan Maritime Self-Defense Force de 1989 à 1992 puis de la Japan Ground Self-Defense Force 13th Band de 1992 à 2001 à Hiroshima où il obtient trois Grands Prix militaires.

Il a été tubiste de l’Odyssée ensemble et cie (2007-2008). Il  est  invité pour des concerts  à l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, l’Opéra National de Lyon, SWR Baden-Baden et du Freiburg Sinfonieorchester, Hiroshima Symphony Orchestra, etc.

Il est admis en 2001 au CNSMD (Conservatoire National Supérieur Musique et de Danse) de Lyon avec Melvin Culbertson et obtient le DNESM (Diplôme National Supérieur d’Etudes Musicales) en 2004 et le CECS (Cycle d’Etudes Contemporaines Spécialisées) en 2006 à l’Atelier Instrumental du XXe siècle. Il a été boursier de ADAMI (Société Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes) en 2005. En 2007, il étudie à l’Université Lumière Lyon 2 en Master 2 pour les musiques appliquées aux arts visuels.

Il a obtenu le 4ème prix au Japan Wind and Percussion Competition de Tokyo (1998), Prix Dipromat au International Instruments Competition de Markneuikirchen (2000), Troisième prix à l’ITEC International Tuba and Euphonium Competition de Budapest (2004).

Au cours des dernières années, il a participé à la création d’œuvres contemporaines, collaborant ainsi avec des compositeurs, des metteurs en scène, des danseurs, des techniciens de la lumière et des ingénieurs du son pour les nouvelles technologies. Toutes ces expériences l’ont amené aux différentes esthétiques ou formes d’art et l’ouverture vers de nouveaux publics.

Atsutaro Mizunaka est Tuba solo de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine depuis 2008.

C’est à l’âge de 6 ans que Julien débute la percussion à l’école de musique de Dax. Après avoir étudié au CNR de Bayonne, il se perfectionne à Créteil auprès de Francis Brana, avant d’intégrer le prestigieux CNSMD de Paris dans la classe de Michel Cerutti et Florent Jodelet, où il obtiendra son Master avec mention en 2016.

Depuis ses études au CNSM, Julien est intermittent du spectacle et travaille régulièrement dans de prestigieux orchestres tels que l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’orchestre Philharmonique de Monte Carlo ou encore l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.

En parallèle de ses activités symphoniques, Julien participe à de multiples projets de style variés : des œuvres contemporaines au sein de l’ensemble InterContemporain en passant par des concerts de jazz aux côtés de Michel Legrand, ou encore diverses formations de musique de chambre.

Originaire du Lot, Sylvain Borredon commence ses études de percussion à Cahors puis au Conservatoire de Toulouse dans la classe de Michel Ventula où il obtient son DEM. Après s’être perfectionné dans la classe de Francis Brana au Conservatoire de Créteil, il intègre le CNSM de Paris en 2009 dans la classe de Michel Cerutti en obtenant son Master de percussion en 2014.

Passionné par l’orchestre, Sylvain joue régulièrement avec l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre National de France, l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre National de Lorraine. Il se retrouve également au pupitre de l’Orchestre Français des Jeunes en 2010 ainsi qu’au Lucerne Festival Académie en 2013.

Il co-fonde avec François-Xavier Plancqueel et Nicolas Del-Rox l’ensemble de percussion Maes-Trio en 2011.

Il intègre l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine au poste de percussion solo en 2015.

Daphné de Driesen a grandi dans une famille de musiciens. Après des études au Conservatoire National de Paris, au Conservatoire d’Evreux, ainsi qu’au Conservatoire National de Troyes, elle est reçue au CNSM de Lyon où elle obtient à 19 ans ses diplômes de harpe et de musique de chambre.

En 2009 elle intègre les Orchestres de la Garde Républicaine pour cinq ans.

Elle vit désormais à Bordeaux et est invitées régulièrement à travailler avec de nombreux orchestres, dont l’Orchestre National de Bordeaux, l’Orchestre de l’Opéra de Paris et de l’Opéra de Lyon, l’Orchestre de chambre de Paris, l’Orchestre du Capitole de Toulouse, l’Orchestre National de Lorraine, l’Orchestre National d’Ile-de-France, l’Orchestre de Strasbourg, l’Orchestre National de Lyon. Elle a l’honneur de jouer avec l’Orchestre Philharmonique de Berlin pendant l’été 2007.

La musique de chambre tient une place importante dans sa vie musicale.

Après avoir obtenu un premier prix de harpe au conservatoire de Boulogne
puis de Rueil-Malmaison, Manon de Preissac entre au conservatoire national
supérieur de musique de Paris et obtient un premier prix qu’elle poursuit par un
cycle de perfectionnement en musique de chambre.
Tout en assurant une carrière de soliste, jouant les grandes œuvres du
répertoire, elle se consacre aussi à la musique de chambre dans des formations
variées, telles que duo de harpes, chant et harpe, quintette, trio des Estuaires
(flûte, alto et harpe). Elle assure de nombreux remplacements en tant que harpe
solo dans les grands orchestres nationaux. Par ailleurs, elle est diplômée du
certificat d’aptitude et est actuellement professeur titulaire de la Ville de Paris.

Bruno Maurice, accordéoniste et compositeur

Compositeur

Bruno Maurice a composé trois concertos avec orchestre à cordes. Créé en février 2019 avec Juan José Mosalini, son dernier double concerto « Aquarius » pour accordéon et bandonéon s’inspire du drame de la crise migratoire actuelle…

Improvisateur

S’échapper de toute contrainte, vivre et façonner la musique dans l’instant, dans le souffle de son imagination, comme un peintre des sons qui naissent sous ses doigts, voilà l’univers de Bruno Maurice. En solo, ou en duo avec le clarinettiste Jacques Di Donato…

Interprète

Artiste du vivant, Bruno Maurice livre une poétique musicale intime et sensible, dans la recherche de la beauté et de l’émotion. Accordéoniste recherché du monde musical contemporain, il joue l’instant, porté par les sons de l’Appassionata.

Bruno a étudié à l’académie Tchaikovsky de Kiev auprès de Vladimir Besfamilnov.

http://www.brunomaurice.com/

La pianiste Célimène Daudet, issue de deux cultures, française et haïtienne, est une soliste dont le jeu et l’engagement artistique sont reconnus par le public et la presse internationale. Elle se produit dans le monde entier, et a récemment fait ses débuts au Carnegie Hall de New York, au Konzerthaus de Vienne, à la Philharmonie de Paris.

On l’entend également sur la scène des grands festivals français (Folle journée de Nantes, Festival Variations, Printemps des Arts de Monte-Carlo, Piano aux Jacobins, Piano en Valois, Festival de Pâques d’Aix, Festival International de la Roque d’Anthéron…). Elle est aussi l’invitée régulière d’émissions de radio (Radio Classique, France Musique, France Inter, France Culture, Fip) et de télévision.

Ses enregistrements, de Bach à Messiaen (chez Arion puis NoMadMusic) ont été longuement mûris et unanimement salués par la critique: A tribute to Bach, l’Art de la Fugue de Bach, Dans la malle du Poilu (œuvres autour de la Grande Guerre), Sonates de Beethoven pour piano et violon avec Amanda Favier, Préludes de Debussy et Messiaen, « Messe Noire » consacré à Liszt et Scriabine. Son dernier album « Haïti mon amour » (NoMadMusic) paru en 2021 est consacré à un répertoire inédit. Un disque classé au premier rang des ventes Fnac, distingué par 5 étoiles Classica, 5 Diapasons, ffff  Télérama. Le Devoir lui consacre une double page, L’Obs un portrait…

Le répertoire de Célimène comprend également la création de plusieurs œuvres qui lui sont dédiées : très récemment Nombres de Benoît Menut, Anima-Alias avec live computer et capteur de respiration de Jacopo Baboni Schilingi . En 2021, elle crée le concerto pour piano et orchestre de Christian Rivet. Elle a par ailleurs collaboré plusieurs années avec le chorégraphe Yoann Bourgeois auprès de qui elle a interprété l’Art de la Fugue de Bach plus de cent fois sur scène.

Célimène est artiste associée à la Soufflerie de Rezé pour deux saisons. Cette collaboration donne lieu à une programmation riche et personnelle ainsi qu’à plusieurs créations.

Elle est à l’initiative du Haïti Piano Project lancé en 2017 dont l’objectif était de faire venir en Haïti un piano de concert et d’y créer le premier festival international de piano dont elle est aujourd’hui la directrice artistique. Cette action a été très largement médiatisée par la presse à travers le monde.

Formée aux conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Lyon et de Paris puis au Banff Centre au Canada, elle a notamment remporté le Prix International Pro Musicis et a été nommée Artiste Génération Spedidam. Elle a reçu le soutien de la Fondation Safran pour la Musique et son parcours a été récompensé par la médaille du Sénat. Célimène est depuis 2018 ‘Young Leader’.

Médaillé d’or du Conservatoire National de Région de Bordeaux, Hervé N’KAOUA entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.

En 1990, il y obtient le Premier de Piano dans la classe de Dominique MERLET, le Premier Prix de Musique de Chambre dans la classe de Jean-Claude PENNETIER, ainsi que le diplôme d’analyse musicale.

Admis en cycle de Perfectionnement de musique de chambre dans la classe de Roland PIDOUX, il se distingue dès 1991 dans différents concours internationaux : lauréat de la Fondation MENUHIN, lauréat du concours « Musique d’Ensemble », finaliste de l’International Young Concert Artist Competition of Royal Tunbridge Wells (Angleterre).

Il reçoit alors une bourse pour étudier à la School of Fine Arts de BANFF (Canada) en 1991; il y rencontrera des Maîtres prestigieux tels que Gyorgy Sebok et John Perry.

Hervé N’KAOUA obtient le Certificat d’Aptitude de professeur de piano en 1995.

Ouest-France

Parcours professionnel

Engagé comme Professeur de Piano à l’Ecole de Musique du Havre en 1995, il est nommé au Conservatoire National de Région de Bordeaux en 1997.

En 1999, Hervé N’KAOUA est choisi par la Communauté Urbaine de Bordeaux et le quotidien Sud Ouest pour représenter le nouveau dynamisme de la ville dans le domaine culturel.

Cette męme année, il est également nommé Président de la section française de l’European Piano Teatcher Association (EPTA).

Après avoir été l’assistant de G.PLUDERMACHER au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Hervé N’KAOUA est nommé, en septembre 2008, Professeur de Piano au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon.

Soliste et concertiste

Par ailleurs, soliste et concertiste, il participe à de nombreux concerts en France et à l’étranger : il est ainsi invité dans de nombreux pays :

Autriche, Norvège, Etats-Unis, Russie, Angleterre, Tahiti, Guadeloupe et Martinique pour des récitals.

Il est également l’invité de prestigieux orchestres :

L’Ensemble des Solistes de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine, le Calgary Philarmonic Orchestra, l’Orchestre de Chambre de la Gironde, les Symphonistes d’ Aquitaine, l’Orchestre Régional de Porto, l’Orchestre de Chambre de Bordeaux (direction Lionel Gaudin-Villard), et plus récemment l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine, sous la baguette de Darrel Ang et de Andris Poga.

Particulièrement apprécié en Musique de Chambre, il joue avec de nombreux partenaires: Roland Daugareil, Tasso Adamopoulos, Michel Michalakakos, Arnaud Thorette, Nemanja Radulovic , Sarah et Deborah Nemtanu, Etienne Péclard, Sergey Antonov (Violoncelliste, Premier Prix du Concours Tchaďkovski), Florent Boffart, Julien

Baudiment…

Son goűt pour la musique contemporaine l’amène à intégrer le groupe Proxima Centauri en 2000, avec lequel il participe à des créations en France ainsi que dans plusieurs autres pays : Espagne, Allemagne, Suisse, Italie, Mexique et Japon.

Il est également, depuis sa création, le Directeur Artistique des « Estivales de Musique en Médoc », festival qui propose de faire jouer des lauréats de concours internationaux dans les grands crus du Médoc.

Repertoire

Son répertoire s’étend de Bach à la Musique contemporaine (Stockhausen, Boulez, Crumb, Pierre Jodlowski, François Rossé), et comprend de nombreux concertos (Mozart, Beethoven, Chopin, Liszt, Rachmaninoff, Brahms); il affectionne particulièrement l’époque romantique et joue régulièrement le répertoire de Chopin, Brahms, Liszt et Schumann ainsi que la

Musique française (Debussy et Ravel).

www.herve-nkaoua.fr

Diplômée d’une licence de musicologie à l’université de Michel de Montaigne de Bordeaux, Romie Estèves a étudié le chant  lyrique  et  la  danse  contemporaine  au  conservatoire  de Bordeaux. En  2010  elle  remporte  le  1er  prix  du  concours international de chant lyrique de Bordeaux Medoc. Travaillant  au  sein  de  la  Cie  bordelaise  Opéra  Bastide,  elle aborde un panel de grands rôles du répertoire. Ce faisant, elle continue d’explorer les expériences et les performances multidisciplinaires, combinant ses talents de chanteuse d’opéra, de danseuse et d’improvisatrice. Elle travaille entre autre pour des  artistes  tels  que  Christine  Dormoy,  la  Cie  Eclats,  Yannick Jaulin, Camille Rocailleux et prend part ainsi à de nombreuses créations et récitals au sein desquels elle interprète  un  répertoire  s’étendant  des  monodies  du  moyen-âge à Tom Waits en passant par Mozart, Rossini, Mahler, Ravel, Poulenc ou encore Berio et Nono. Romie Estèves tourne le spectacle “Groink”, opéra pour enfant inspiré du conte des trois petits cochons et « Vous qui savez ce qu’est  l’amour  »,  adaptation  des  Noces  de  Figaro,  dont  elle assure l’écriture, la mise en scène et l’interprétation.

Romie Estèves a étudié le chant lyrique et la danse contemporaine au conservatoire de Bordeaux. En 2010 elle remporte le 1er prix du concours international de chant lyrique de Bordeaux Medoc. Elle fait ses début dans le rôle titre de “Lisa”, création du compositeur et metteur en scène Camille Rocailleux.

Simultanément, elle débute à l’opéra dans le rôle de Carmen et Dorabella (Opéra Bastide- Bordeaux et la Philharmonie d’Aquitaine dirigée par Bruno Ricaud puis réinterprète Carmen peu de temps après sous la direction de Yannis Pouspourikas pour la compagnie belge “Opéra en plein air”). Artiste multidisciplinaire, elle travaille entre autre pour des artistes tels que Christine Dormoy, la Cie Eclats, Yannick Jaulin, Camille Rocailleux et prends part ainsi à de nombreuses créations et récitals.

Après avoir pratiqué le violon, Maëlle Vivarès, soprano, étudie le chant au CRR de Lyon puis obtient un Master d’interprétation au Conservatoire Supérieur de Lausanne et un Diplôme d’Etat de professeur de chant.

Elle intègre en octobre 2017 l’effectif permanent du Choeur de l’Opéra de Bordeaux. Elle travaille également avec l’ensemble La Tempête dirigé par Simon-Pierre Bestion. Par ailleurs, elle poursuit une activité pédagogique et soliste en musique de chambre, récitals et oratorio.

Comédien, mime, et metteur-en-scène Loïc Richard se présente comme un artiste aux nombreuses facettes.

C’est vers l’âge de onze ans qu’il côtoie la première fois la scène, dans l’opéra « La Cenerentola  au festival d’art lyrique d’Aix en Provence.

Comédien averti, il intègre en 2010 l’Académie Internationale des Arts du Spectacle dirigée par Carlo Boso, maître de la commedia dell’arte. Il y apprend l’art de la scène en passant du théâtre au chant, de la danse au mime et y peaufine son talent de comédien.

Mais c’est en 2013 qu’il co-fonde la Compagnie de l’Alouette, pour laquelle il joue et participe à la mise en scènes de nombreux spectacles dont Casse-Noisette et la prises Pirlipat ou encore l’Amour Médecin pour ne citer qu’eux.

Parallèlement, il intervient avec d’autres compagnies, la Compagnie Avanti ! (Les Fourberies de Scapin, Le Mariage de Figaro), la Compagnie de la Libellule (Femmes Pirates) ou encore la Compagnie Alegria (Le Malade Imaginaire).

Attiré par le liens entre théâtre et musique, cet artiste bordelais participe également à de nombreux concerts et spectacles musicaux comme Pierre et le Loup, Le Carnaval des Animaux et L’Histoire du Soldat avec l’Orchestre National Bordeaux-Aquitaine sous la direction respectivement de Pierre Dumoussaud, Marc Leroy-Calatayud et Julien Masmondet, Der Schauspieldirektor de Mozart avec l’ensemble Opera Fuoco sous la direction de David Stern, Les Sept Dernières Paroles du Christ de Haydn et Mozart à Paris avec le Quatuor Kaplan, Enoch Arden de R. Strauss avec Paul Daniel (directeur musical de l’Opéra de Bordeaux), Mes 300 Premières Années avec le violoncelliste Alexis Descharmes…

Loïc Richard est également membre de l’association des Donneurs de Voix, pour laquelle il enregistre des nouvelles et des romans au bénéfice des personnes mal-voyantes.

Santiago CONGOTE, de nationalité française, est né le 13 avril 1975 à Medellin en Colombie. Après avoir débuté la danse dans son pays natal, il vient en France en 1995 pour intégrer l’école du C.N.D.C. d’Angers suite à l’obtention d’une bourse du Ministère de la Culture français. À l’issue de cette formation il démarre une carrière internationale en collaborant avec de nombreux chorégraphes dont Patrick le Doaré, Peter de Ruiter, Pedro Pauwels, Myriam Dooge , Objet Fax, Sylvie Guillermin et notamment Faizal Zeghoudi avec lequel il développe une étroite relation artistique depuis près de 10 ans. Puis, récemment, il intègre la Compagnie Le Cr! du Pied pour la création « 30 minutes de la Vie d’un homme ».

Parallèlement à sa carrière d’interprète il obtiendra en 2006 une licence en Arts du Spectacle Mention Danse, puis en 2008 le Diplôme d’état de professeur de danse. Récemment, il a intégré le DU pratique approfondie de la langue de Signes Française.

Bercée depuis son enfance dans les aquarelles de sa maman c’est naturellement que Gali se dirige vers des études artistiques et suit une maîtrise d’arts plastiques sur Bordeaux.

Elle décide alors de s’installer au bord de l’océan et devient artiste-peintre professionnelle.

Inspirée par l’horizon, les couleurs et les lignes océanes, elle crée un univers pictural fait d’Ici et d’Ailleurs.

« Je travaille dans l’instant, instinctivement.

Le tableau se crée dans la rencontre de la ligne, de la couleur et de la matière. Je cherche l’accident, le hasard, actes manqués de mon inconscient. C’est avec eux que je trouve mon sujet, seule l’émotion compte. Y compris si elle doit apparaître dans l’imperfection d’une touche ou d’une coulure…

La corriger ou la maîtriser serait alors nier cette liberté qui appartient à chaque tableau. »

http://www.gali.fr

Diplômée d’Etudes Supérieures de l’Ecole du Louvre, Monia Lyorit arrive à la scène par le biais du mime dans l’atelier d’Ivan Bacciochi à Paris. Puis, elle suit des cours de théâtre classique avant de s’initier à l’art de conter en 2004. Son travail s’enrichit par la suite de sa curiosité pour le jeu masqué (stage Petit Théâtre de Pain), le théâtre d’objet (stages Nicolas Vidal, Agnès Limbos), le clown (stages Eliane Barral), la danse (africaine, contemporaine, classique…). Elle se forme pour la voix notamment auprès d’Afida Tahri et participe aux ateliers de Michel Hindenoch durant 4 ans.

Dans le conte, la comédienne apprécie particulièrement d’incarner les personnages de ses histoires depuis Barbe Bleue à Baba Yaga en passant par Peau de chat. Son répertoire puise largement dans les contes merveilleux ou d’autres cultures mais aussi dans la littérature (Charles Dickens, Guy de Maupassant, Selma Lagerlöf). Monia Lyorit aime conjuguer mouvement, chant, musique et aller à la rencontre d’artistes et de lieux différents (Nuit des Musées au musée d’Aquitaine, domaine boisé de la Burthe à Floirac…) créant des spectacles d’objets, de contes, musicaux…

Elle collabore régulièrement avec l’Opéra National de Bordeaux et l’ Ensemble Roussel dans La Boîte à joujoux de C. Debussy, Contes ma mère l’Oye d’après M. Ravel, Pierre et le Loup de S. Prokofiev et a créé des visites contées au sein du Grand Théâtre de Bordeaux.

Avec le Trio Ligeti, elle a adapté le livret de F.Ramus pour « L’Histoire du Soldat » de I. Stravinsky et créé des intermèdes contés pour « Carmina Burana » de C. Orff à la demande de l’orchestre de Marcillac. Tout récemment, elle intègre le projet de L’Asso du S « Crôa! les grenouilles de La Fontaine », fables musicales (création au Rocher Palmer de Cenon).

La conteuse met également son  travail en lien avec des besoins parfois plus éloignés : prévention autour des troubles du sommeil (Journée Nationale du Sommeil), collaboration avec la mairie de Bordeaux sur le thème de la santé bucco-dentaire,du sommeil, de l’alimentation,  interventions en centre hospitalier (Centre Hospitalier Charles Perrens, Bordeaux).

« J’ai commencé par le mime pour ne pas parler….. Avec le théâtre, j’ai appris à dire les mots et maintenant….. je raconte….. Des paroles pour ouvrir la porte d’entrée d’un univers où tout peut arriver. Et tout arrive ».